Résidence secondaire : un marché immobilier en plein boom
Après la pandémie, les agences immobilières proposant des résidences secondaires n’ont pas désempli. Une frénésie d’achat s’est emparée des habitants des grandes villes, particulièrement ceux qui sont restés coincés pendant des mois dans leur appartement, avec pour unique horizon un bout de ciel entre 2 immeubles. Selon l’Insee, en 2021, seulement 13% des Français possédaient une résidence secondaire, alors que 40% rêveraient d’en avoir une. On imagine aisément la croissance exponentielle du marché après les confinements successifs, si tant est que les Français aient les moyens.
Dans certaines régions comme le Perche ou la Normandie, les ventes ont littéralement explosé. Les principaux critères : un accès facile et rapide depuis Paris, au calme mais proches des commodités, avec un grand jardin, un accès au débit internet rapide,
Par ailleurs, le COVID a radicalement transformé les modes de vie. Barnes révélait dans sa dernière étude que 43% des personnes interrogées avaient l’intention de réorganiser leur vie professionnelle et familiale, et 72% d’entre eux imaginaient faire de leur maison secondaire une résidence semi principale.” L’apparition de ces nouveaux usages a contribué à rebattre les cartes du marché immobilier de la résidence secondaire.
Malgré tout, l’acquisition d’une résidence secondaire n’est pas accessible à tous. Une résidence secondaire coûte cher, en temps et en argent.
Les coûts d’une résidence secondaire
Au prix du bien lui-même et aux frais de notaire de 7,5% s’ajoutent, selon l’état du bien acheté, des potentiels travaux de rénovation. Puis viennent les coûts de déménagement, d’ameublement, d’équipements… et les 1001 petites installations à rajouter dans la maison pour se sentir chez soi. Et puis au quotidien, il y a les frais récurrents de fonctionnement : taxe foncière ou taxe d’habitation, assurance, énergie (électricité, eau, chauffage), internet, entretien des machines (chauffe-eau, chaudière, piscine, tondeuse etc..), entretien du jardin etc..
On estime que ces frais représentent annuellement entre 4 à 6% de la valeur de la maison, en fonction des caractéristiques énergétiques de la maison, et de sa superficie. Une somme élevée, particulièrement lorsqu’on sait qu’en moyenne, les Français ne passent que 40 jours seulement dans leur maison secondaire !
C’est sans compter les heures nécessaires pour gérer l’ensemble du bien : ménage, entretien du jardin et des éventuels piscine ou tennis, conduction des travaux, administratif etc..
Investir intelligemment en achetant des parts d’une résidence secondaire
Pour partager cette charge financière et temporelle, une nouvelle solution smart a fait son apparition : l’achat de maisons secondaires partagées.
Pionnière dans cette approche révolutionnaire, Altacasa permet d’acquérir une ou plusieurs parts d’une résidence secondaire en fonction du temps que l’acheteur souhaite y passer (par exemple 1 part = 44 jours).
La startup achète des biens de prestige, les rénove, les meuble et les équipe, puis agrège un ensemble de copropriétaires sous la forme d’une SCI.
Pour s’assurer que la répartition des séjours et des dates soit équitable entre les propriétaires et que chacun soit satisfait, l’entreprise a développé un algorithme de pointe basé sur de multiples règles. Ces règles ont été conçues avec pour mot d’ordre flexibilité et liberté pour que les acquéreurs puissent réserver à l’avance, comme au dernier moment, modifier, échanger ou annuler leurs séjours depuis l’application.
Une fois propriétaire, l’acheteur n’a plus à s’occuper de rien car c’est Altacasa qui s’occupe de toute la gestion du bien : entretien, ménage, jardinage, gestion de la copropriété etc..
Altacasa revendique une transparence totale : chaque propriétaire peut donc suivre l’ensemble de la gestion de la maison, ainsi que les coûts, les travaux engagés ou encore les AG via l’application.
Un excellent moyen de profiter du temps passé dans sa maison à moindre coût et sans gestion chronophage du bien !
Comment financer l’achat de parts d’une résidence secondaire ?
Pour financer l’achat des parts d’une résidence secondaire, la solution la plus courante est le crédit hypothécaire. Lorsque le crédit hypothécaire est affecté c’est-à-dire que sa destination est connue, les établissements bancaires parlent en général de « garantie déplacée ».
Cette garantie déplacée passe :
- soit par une garantie réelle : les banquiers prêtent alors de 50 à 70% de la valeur du bien hypothéqué
- soit par une société de cautionnement : dans ce cas la valeur nette de l’immobilier détenu par l’emprunteur après crédit doit être équivalente à 100% du montant du prêt demandé
